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Claudine Lacroix, Institut de la statistique du Québec et Université de Montréal

Les résultats d’une étude de cas démontrant l’influence du caractère familial sur la longévité humaine seront présentés. Une famille se distinguant par les durées de vie exceptionnellement longues de plusieurs de ses membres est comparée à une famille de référence représentative de la population moyenne de l’époque. Les résultats opposant ces deux familles consistent en des âges moyens au décès et des proportions de survivants à différents âges. Cette étude s’inscrit dans le prolongement des recherches effectuées avec les ascendances de Jeanne Calment (Robine et Allard, 1998) et Marie-Louise Meilleur (Desjardins, 1999). Les informations tirées des registres paroissiaux du Québec ancien et consolidées informatiquement par le Programme de recherche en démographie historique (Département de démographie, Université de Montréal) dans une base de données appelée Registre de population du Québec ancien constituent la source exploitée pour la réalisation de l’étude.

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Presented in Poster Session 5: Contexts